Gérer des ressources communes suppose des instances aptes à produire des règles légitimes et à les faire appliquer. La parité est-elle un principe pertinent pour gérer des ressources entre des acteurs aux intérêts différents ? Dans quelles conditions des instances locales peuvent-elles jouer un rôle effectif dans la régulation de l’accès aux ressources ?
Au Tchad oriental et en Guinée maritime, deux projets de gestion des ressources pastorales ont mis en place des structures paritaires entre sédentaires et transhumants. L’analyse de ces expériences apporte des éléments de réponse.